Comme une pensée trop légère…
Il existe des instants nécessaires au repos de l’esprit. D’autres que moi, ont composé des lignes pour que les femmes aient leur pesant – on croit rêver !… de justification ! sereines ou tourmentées, tout à la fois belles et rebelles. En voyant cette image d’Héloïse, je me permets des mots qui ne sont pas et ne seront jamais, j’invente un univers qui n’était pas et qui pour elle se crée pourtant. Sans alternative possible à l’amour, je vais, je viens plein d’une folie douce : aimer les femmes en vérité. Mais en serais je bien un jour capable ?