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Actualité, Actualité frappante, AlterCogito.fr, Amnesty International France, Israel, Jacques-Claude Soumillier, Palestine, Politique
Face au risque de génocide, il est urgent de suspendre toutes les ventes d’armes à Israël. Amnesty France
Monsieur le président, Depuis le 7 octobre 2023, jour où le Hamas et d’autres groupes armés palestiniens ont commis des crimes abominables, auxquels les autorités israéliennes ont répondu de façon disproportionnée, la question de l’arrêt des livraisons d’armes, de pièces détachées et de munitions à Israël – mais aussi au Hamas et autres groupes armés palestiniens -, est régulièrement soulevée. Et au fur et à mesure que le bilan humain s’alourdit, elle prend de plus en plus d’importance et revêt un caractère d’urgence. Interrogé par Mediapart, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a précisé le 24 janvier 2024, que la France exportait « des équipements militaires à Israël afin de lui…
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Les Kaléidoscopiques d’AlterCogito – Au sujet de la loi immigration
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Chant contemporain, Danse contemporaine, Eddy Dépollier, Les coups de coeur d'AlterCogito, Natalia Soreyn
Teaser “Passeur d’ombre” de Natalia Soreyn & Eddy Dépollier. Sur une musique d’Anthez.
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Natalia Soreyn & Anthez – Carroussel.
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Critique littéraire, Les coups de coeur d'AlterCogito, Matthieu Vovor, Poésie, Poésie contemporaine, Stéphanie Vovor
Frénésies. De Stéphanie Vovor.
C’est à travers un récit poétique, social et politique que Stéphanie Vovor nous dépeint la jeunesse des classes moyennes et des périphéries. Celle qui face aux désillusions espère obtenir un CDI, celle qui s’évade en regardant Les Marseillais, celle accro aux nouveaux diktats de la chirurgie esthétique, celle qui espère être entendue. « Je suis si lourde que je m’enfonce dans le décor, je suis le bureau, les chaises en vis-à-vis, la moquette bleu crade, le plafond carrelé, la bouche d’aération, je suis mon vernis qui s’écaille, le rendez-vous de 15 h arrivé en avance, les consignes du N+2 dont tout le monde se cogne, je suis l’évaluation barbante et éculée…
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Nous sommes tous coupables. Le coup de gueule de François Milhiet.
Gestion désastreuse de la crise des gilets jaunes, de la pandémie, autisme sur la retraite, et aujourd’hui “circulez il n’y a rien à voir” avec aucune remise en question du gouvernement. Je parle depuis longtemps de la violence institutionnelle, envers les handicapés, les personnes âgées, les pauvres, les sans dents… Les citées et leurs habitants cumulent les discriminations institutionnelles en plus de celles liées à leurs origines et les autres violences (drogue, trafics, vols, violence physique, racket…). Je vois les hommes et femmes politiques s’écharper sur les plateaux TV, en rejetant systématiquement sur les autres les responsabilités. Mais aucun mea culpa. Nous sommes TOUS coupables à travers nos votes en…
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Enjeux éthiques de la révolution numérique. Par Olivier Abel.
Préambule sur ce que les vieilles traditions « religieuses » peuvent apporter sur ces questions complètement inédites : Les traditions « religieuses » ou spirituelles (et pour moi les grandes traditions philosophiques en sont également des formes, issues de l’histoire particulières de l’antiquité grecque et du mélange progressif des traditions gréco-latines et bibliques jusqu’à leur fusion dans l’histoire étonnante de l’Europe moderne) abordent les questions contemporaines avec d’une part des mémoires narratives plus vastes que le présentisme souvent un peu nerveux des opinions contemporaines (ça vient de plus loin, ça ira plus loin), et d’autre part un massif de textes relevant de traditions diverses qui se sont déposées dans des…
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Barbara Bigot-Frieden, Chanson française contemporaine, Ernest de Jouy, Les coups de coeur d'AlterCogito, Ze clip
Moi le reste – Barbara Bigot-Frieden / Ernest de Jouy.
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REMOUS. Par Stéphanie Vovor.
Il y’a des soirs où F. saccageait des baraques de bourges Il m’avait envoyé un sms avec une photo Un tableau représentant une jeune fille à l’air hagard Sûrement un peu comme moi pensait-il se faisant qu’il tirait sur le zip de sa braguette pour pisser sur le parquet du proprio « C’est mon échappatoire » disait-il « à l’intérieur de moi c’est salement chagriné j’sais pas vivre mélangé j’ai le cerveau en dégâts » Parfois je me rappelle Nos têtes s’embrassant en dessous du papier tue-mouche de sa grand-mère J’avais quinze ans J’étais heureuse jusqu’à la bêtise